Foire aux questions

La Birmanie se trouve en Asie du Sud-Est, entre l’Inde à l’ouest et la Chine et la Thaïlande à l’est. Le pays est grand comme 23 fois la Belgique avec ses 676.578 km2. Il y a 52 millions d’habitants.

Le pays a changé de nom plusieurs fois au cours des siècles !

Lors de la colonisation par les Britanniques, il fallait un nom anglais qui fît référence à la population locale les « Barmar » et donc le nom du pays est devenu BURMA (Birmanie en français). Puis quand la junte militaire a pris le pouvoir, les villes ont été rebaptisées pour ôter toute connotation anglophone et ainsi la Birmanie est alors devenue le Myanmar en 1989. Depuis 2011, la junte ayant disparu, on a le choix pour le nom… et les personnes plus âgées préfèrent toujours BIRMANIE. Mais la jeune population actuelle utilise aussi bien l’un que l’autre.

Et pourquoi pas ? Ce fut un coup de foudre pour ce pays lors d’un premier voyage. Une population tellement accueillante, souriante et qui manque cruellement de tout.

Au gré des voyages, on rencontre des personnes, on découvre des villages, que l’on estime susceptibles d’être aidés, peu importe où ils sont situés. D’une discussion avec l’un ou l’autre responsable local naît un projet. Ensuite, on en évalue la faisabilité.

Après la junte c’est devenu une démocratie… mais nous ne faisons pas de politique, donc nous préférons ne pas discuter de ce sujet sur notre site qui a pour seul but l’aide à une population en difficulté.

On est à l’aise partout, on ne se sent pas du tout épié ou clairement surveillé, on se sent vraiment en sécurité.

Avant l’apparition importante de touristes, il n’y avait que très peu de vols, de violence, de meurtres… actuellement c’est en augmentation surtout dans les grandes villes mais on n’atteint pas des chiffres semblables à ceux de nos pays occidentaux, pas encore !

Les Birmans ont tellement peur de se retrouver en prison qu’ils ne volent pas leur prochain, et encore moins un touriste.

Oui et il y a très peu de personnes totalement illettrées. On compte en moyenne un taux d’alphabétisation de 95%.

Principalement, le bouddhisme (87 %) mais il y a aussi des chrétiens, des musulmans, des animistes, mais dans une faible proportion.

L’intégralité des dons et de l’argent collecté lors de nos activités sert directement et uniquement à l’aide à la population locale.

Pour les parrainages, les projets en cours et parfois des aides spontanées dans une école ou un orphelinat…

Il n’y a actuellement encore aucune possibilité d’envoyer de l’argent par voie de banque. Deux possibilités s’offrent à nous :

Western Union, qui fonctionne très bien, avec des frais modérés (environ 58 euros pour 2.000 euros).

Nous emportons aussi l’argent avec nous à l’ancienne et le distribuons directement où c’est utile. Nous n’avons donc pas ou peu d’intermédiaires, donc peu de frais.

Aucune part n’est prélevée des dons pour des frais de fonctionnement. On cherche des sponsors quand nous devons faire de la publicité ou quand nous avons des frais pour l’organisation d’activités.

Oui, tout le monde est le bienvenu et nous vous invitons d’ailleurs à venir nous rejoindre. La date de l’AG est inscrite dans l’agenda de l’année en cours, et est aussi diffusée par la newsletter mensuelle.

Partout où nous arrivons à mettre une activité en place. On ne refuse jamais une proposition et tout le monde est toujours le bienvenu.

Oui, sans aucun problème lorsque vous effectuez un voyage sur place. Nous organisons la rencontre et donc il faut nous le signaler avant votre voyage.

Il suffit d’envoyer une lettre par e-mail à la responsable des parrainages, Orlane, qui se chargera de transmettre au correspondant sur place. Vous pouvez aussi faire parvenir un petit colis qui sera emporté lors d’un voyage à venir et remis à votre filleul(e).

Nous choisissons des enfants de familles très démunies et depuis peu nous essayons surtout d’aider des enfants de villages.

Auparavant, nous avions une majorité d’enfants parrainés à Yangon pour plus de facilité, mais maintenant que nos projets se sont étendus et que nous sommes le plus souvent ailleurs qu’à Yangon, il est plus aisé de s’occuper aussi d’enfants de villages, qui ont moins aisément accès aux biens matériels que ceux de la capitale.

Les 20 euros par mois servent uniquement à la scolarité, c’est-à-dire à l’achat de l’uniforme scolaire, du matériel utile, parfois aussi pour faire les trajets. Mais jamais pour d’autres besoins tels que médicaments, nourriture…

Oui, mais principalement quand ils sont devenus majeurs.

A partir de 15 ans, il est déjà possible de demander un visa pour l’enfant qui voyagera seul; avant cet âge, l’enfant doit voyager avec un membre de sa famille.

Pour la Belgique, il faut faire une demande de visa touristique auprès de l’ambassade d’Allemagne à Yangon. mais il faut au préalable faire un dossier très complet. N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’infos. Il est par contre actuellement impossible pour un jeune Birman de venir étudier en Belgique.

Pour la France, il faut s’adresser à l’Ambassade de Birmanie à Paris.

Des choses simples et peu onéreuses.

Les enfants des villages ont besoin de lampes solaires afin de pouvoir étudier le soir à la maison. Nous vous proposons d’en acheter une via note association. Elles sont achetées sur place et distribuées rapidement.

On peut aussi offrir un livre en anglais, une lampe de poche solaire, une montre, un réveil matin mécanique, des pinces à cheveux, des bijoux fantaisies, un petit album photo avec vos photos de famille (si possible pas des photos de vacances, ils ont envie de découvrir votre pays) un livre à colorier avec des crayons…

Si l’enfant est très jeune, il écrira en birman et ce sera traduit en français avant de vous transmettre le courrier. Si l’enfant est plus grand et qu’il apprend déjà l’anglais, il répondra en anglais surtout si vous lui demandez. Ou parfois même en français pour ceux qui étudient les langues.

En français et cela sera traduit dans sa langue. Toutefois, si votre filleul(e) apprend l’anglais n’hésitez surtout pas à lui écrire en anglais.

Il existe plusieurs possibilités : cours dans une école du type Institut Français à Yangon, mais c’est assez onéreux;  cours privés comme à notre école Ingyin School à New Bagan où l’on enseigne gratuitement l’anglais. Il y a aussi une école du même type à Yangon.

Pour le français, il n’y a pas encore ce type d’enseignement gratuit car le besoin actuel porte surtout sur l’anglais.

Non, car dans les orphelinats on ne peut pas aider un enfant au détriment des autres. Donc nous soutenons certains orphelinats et des personnes font des dons pour l’un ou l’autre orphelinat mais jamais pour un des enfants en particulier.

Les enfants à parrainer sont issus de familles dont la pauvreté compromet la poursuite de la scolarisation de l’enfant.

Oui, mais jamais sur base de photos.

Oui. Soit un enfant jeune (école primaire) soit un adolescent (secondaire).

Oui, si on a envie d’aider la famille pour d’autres choses que l’école, mais jamais directement car cela ne leur parviendra pas; le plus sûr est de passer par l’asbl. Il faut bien entendu nous informer de ce que vous souhaitez offrir, ainsi la famille est également informée et on essaie ensuite de vous faire parvenir une photo de l’enfant et sa famille avec ce que vous avez offert.

Le temps que vous pouvez proposer, même si c’est une seule fois par an pour une activité spécifique.

Cela peut être partout, en Belgique ou ailleurs. La vente de calendriers sur toute la Belgique mais aussi en France ou en Allemagne ou au Luxembourg ou même à Québec si vous y êtes.

Pour une aide ponctuelle lors d’une activité… cela dépend où se passe cette activité.

On peut aussi faire des choses à partir de chez soi…

Majeur, sauf pour la vente de calendriers, autorisée à tout âge, par exemple au sein d’un mouvement de jeunesse, d’une troupe scoute ou d’une école…

Avoir beaucoup d’altruisme, savoir donner sans compter, recevoir des « merci » et des « bravo » et surtout se sentir concerné par l’aide aux enfants de Birmanie même si vous n’êtes jamais allé sur place.

Non.

Nous entendons par bénévole une personne qui nous aide ici en Belgique (et d’autres pays en dehors de la Birmanie) dans nos différentes activités. Un volontaire est une personne qui va en Birmanie pour effectuer une mission bien déterminée.

Nous avons autant besoin de bénévoles que de volontaires.

Non, mais on vous demande de lire attentivement notre charte et d’y adhérer. Il faut surtout être motivé.

Malheureusement, il faut payer son billet d’avion car notre association n’a pas assez de finances pour offrir le billet d’avion. Mais vous pouvez chercher un sponsor ou une agence de voyage qui vous propose un bon prix.

Le reste est pris en charge par l’asbl : logement, repas et transport sur place.

Oui afin de nous permettre de mieux vous connaître et d’utiliser au mieux vos compétences.

Pour certaines missions, il est nécessaire d’avoir une formation particulière (médecin, accoucheuse, etc.)  mais il y a aussi des possibilités d’aide sans diplôme particulier pour des cours d’anglais, du crochet, du bricolage, de la musique…

C’est à vous de déterminer la part de votre temps que vous souhaitez accorder à l’association.

Il faut être majeur afin de voyager seul (sans parents ou sous responsabilité d’un adulte )

On propose une charte d’engagement comme volontaire, précisant les conditions de la mission, sa durée…, qu’il faut bien entendu signer pour accord.

Nous n’avons hélas jamais pu obtenir la déductibilité fiscale, notre gouvernement n’ayant pas de contrat de coopération avec la Birmanie. Donc malheureusement pas d’avantage fiscal même si on est un généreux donateur !

On peut toutefois vous établir une facture ou un reçu à joindre à votre déclaration d’impôts.

Oui, il suffit d’en faire la demande.

Oui, à moins que la collecte pour le projet choisi soit terminée; dans ce cas, l’argent est utilisé pour un projet similaire à celui choisi au départ par le donateur.

Oui on peut faire un versement depuis n’importe quel pays sur le compte de l’asbl IBAN : BE80 3634 7179 2377 code BIC : BBRUBEBB.

Bien entendu, nous acceptons d’autres choses que de l’argent.

Nous avons besoin de films vidéo en anglais comme des dessins animés ou des comédies pour nos séances de ciné-club dans les villages. Nous cherchons toujours du petit matériel médical (du sparadrap au stéthoscope en passant par les compresses). On a aussi besoin de brosses à dents. Des ballons à gonfler, des jeux simples et légers sont toujours bienvenus. Nous avons besoin de laine pour les cours de crochet à l’école Ingyin School…

N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des choses à donner.

On peut visiter l’un ou l’autre de nos sites d’intervention. Il est même possible d’apporter une aide sur place, mais il vaut mieux le prévoir avant le début du voyage pour une organisation optimale.